Aujourd’hui, que ce soit en entreprise ou en gestion de projet, la confiance en soi est la clé de voûte du bien-être au travail, de la motivation dans sa besogne, de l’épanouissement personnel et de l’accomplissement professionnel.
Le manque de confiance en son propre pouvoir représente, en revanche, un frein réel quant à atteindre ses objectifs personnels et accéder au succès professionnel, tant convoités.
De nombreuses études montrent que le manque de confiance en soi constitue un sérieux problème couramment rencontré dans les sphères professionnelles, y compris en gestion de projet.
Ainsi, une enquête de l'American Psychological Association affirme qu’environ 50% de personnes en pleine activité professionnelle admettent que la pression et le stress au travail affectent gravement leur confiance en soi.
Par ailleurs, une étude conduite par l'International Journal of Business and Management a indiqué que près de 70% des employés éprouvent un vrai manque de confiance en eux dans leur milieu de travail.
L’objectif de cet article est de vous faire découvrir les clés nécessaires qui, si vous les utilisez convenablement, vous aideront sans nul doute à gagner davantage en confiance en vous et en votre potentiel.
En conséquence, vous allez pouvoir obtenir de vrais résultats, indéfectibles et viables.
La confiance en soi, c’est quoi au juste
La confiance en soi est le fait d’estimer, voire de croire, dur comme fer, en votre pouvoir d’agir face à une situation donnée.
En d’autres termes, la confiance en soi est le sentiment par lequel vous vous considérez apte à faire quelque chose.
La croyance en votre pouvoir constitue en réalité le moteur qui incite, initie et pilote l’action.
C’est aussi la force qui vous détache, vous mobilise et vous emmène hors de votre zone de confort.
Autrement dit, la foi en vos facultés vous habilite à considérer, à un moment précis, que vous possédez toutes les aptitudes requises et les ressources nécessaires pour gérer un projet, traiter un problème ou prendre une décision.
La confiance en soi prend, à vrai dire, naissance à partir de la perception que vous constituez par rapport à vous-même, à vos compétences et à votre valeur personnelle.
En milieu professionnel, il existe bien des moments spécifiques où il est capital de faire montre d’assurance, de foi en vos capacités et de croyance en vous-mêmes.
Contextes où la confiance en soi tient lieu de loi
Voici certaines situations où la confiance en soi s’impose :
1) Au moment d’une prise de parole en public
Faire une présentation à une audience, exposer une idée lors d’une réunion de plusieurs personnes, persuader les membres d’une équipe de la valeur ajoutée d’un projet, d’une stratégie ou d’un plan quelconque, cela nécessite de la présence, de l’audace et bien évidement une bonne dose de confiance en soi.
2) Pendant un entretien d’embauche
Pour bien vous vendre et parvenir à convaincre l’interviewer de l’intérêt de votre profil, il est capital dans ces conditions de disposer de toute votre foi en votre potentiel et compétences en lien avec le poste convoité.
3) Lors d’un entretien d’évaluation
Annuellement, le salarié est invité au fameux entretien d’évaluation pendant lequel, il doit s’attendre à des remarques, des commentaires et parfois même des critiques formulés par son supérieur direct à propos du travail effectué, du bilan enregistré et des performances accomplies.
Faire preuve en ces moments d’assurance, de présence d’esprit, et d’ouverture à toute critique positive permet à l’employé à se remettre convenablement en cause et à s’aligner parfaitement à son plan de développement individuel (IDP : Individual Development Plan).
Dans ce contexte, l'effet Pygmalion peut être particulièrement puissant.
Si le supérieur aborde l'entretien avec des attentes positives et une croyance sincère dans les capacités de l'employé, cela peut significativement booster sa confiance et ses performances futures, illustrant l'impact transformateur de l'anticipation positive.
4) Lorsqu’on décroche un job ou une promotion
Quand vous parvenez à entrer, pour la première fois, dans la vie active ou lorsque vous êtes nommé dans un nouveau poste, vous pouvez être submergé, tout au début, par du stress ou par un manque de confiance en soi.
La meilleure attitude à montrer, à ce moment-là, est de reprendre sérieusement votre maîtrise de vous-même et de gagner en croyance en vous et en vos aptitudes et capacités.
5) Quand vous vous chargez d’un projet, d’une équipe
Il n’est pas exclu de constater qu’un projet pilote pour une organisation, stratégique pour vous et vos partenaires ou à gros risques peut déclencher des sensations d’un déficit de confiance en soi.
Idem pour ce qui est de la prise en charge d’une nouvelle équipe ou d’une récente mission où vous avez la pleine responsabilité.
Oser allant de l’avant constitue, à coup sûr, la meilleure attitude à adopter, dans ces circonstances.
6) En cas de prise de décisions difficiles
En cas de prise de décisions revêtant un caractère dur et amer ou lors de résolution de problèmes délicats, il n’est pas rare de noter une diminution de confiance en soi qui peut se traduire par des comportements d’hésitation ou d’inertie.
Il est important d’en prendre conscience afin de pouvoir y réagir pertinemment.
À présent, voyons ensemble comment se manifeste un état de déficit de confiance en soi.
Quels sont les signes d’un manque de confiance en soi ?
L’insuffisance ou à la limite l’absence de croyance en ses propres facultés peut s’exprimer de la manière suivante :
1) La peur de l’échec
Elle peut s’exprimer par un état de stress négatif destructeur qui empêche la personne de mettre en action ses propres aptitudes.
C’est ainsi que l’individu, en mode projet, se voit submergé par le sentiment de réticence face aux éventuels défis à relever.
2) L’hésitation et le doute
L’hésitation se manifeste par un état d’esprit qui évoque de vraies difficultés face à la prise de décision.
Il s'ensuit une prise de décision retardée ou carrément un état d’indécision qui peut entraîner un comportement d’immobilisme face à la situation.
Le doute évoque le sentiment d’incertitude envers ses propres atouts ou par rapport à la réalisation de ses objectifs.
Ainsi, l'individu s’interroge maladivement sur la conduite à tenir face à un projet, une action ou une mission à accomplir.
3) La procrastination déraisonnable
Elle reflète la mauvaise tendance de la personne à remettre les tâches à plus tard par crainte d’être à court de ressources et de compétences.
4) La fuite et l’évitement
Afin d’échapper à des situations jugées désagréables ou angoissantes, le personnage se soustrait à toute activité de prise de risque, de décision ou de responsabilité.
Il s’agit en fait de comportements stratégiques de défense face au déficit de confiance en soi.
5) Le repli sur soi
C’est le fait de s’isoler, socialement parlant, de se mettre à l’écart des autres et de s’éloigner de toute rencontre professionnelle ou sociale.
6) La dépréciation de soi
Elle consiste à la fâcheuse tendance à se minimiser et à sous-évaluer ses aptitudes et performances.
7) La comparaison itérative à autrui
Se comparer fréquemment aux autres constitue, à vrai dire, une attitude irrationnelle parce que l’histoire de vie de tout être humain est tout à fait différente de celle des autres.
Idem pour ce qui est des contextes de décision et d’action.
8) Le langage corporel fermé
La personne évite, autant que faire se peut, de regarder autrui dans les yeux.
La posture est loin d’être droite et imposante.
La gestuelle est souvent fermée et désorganisée.
9) La difficulté d’accueil des compliments
Ça se manifeste par des comportements signifiant qu’on accepte mal les éloges ou on n’y croit pas, du tout.
Il s’agit en vérité d’une attitude de modestie démesurée qui ne fait qu’aggraver le manque de confiance en soi.
Dans d’autres cas, y compris en gestion de projet, c’est plutôt une recherche avérée d’éloges et de reconnaissance qui est notée.
En fait, la personne montre nettement une allure subtile et même séductrice face à sa hiérarchie et sa clientèle dans le but d’être considérée, par exemple, en tant qu’acteur clé en mode projet.
10) La surévaluation et la dramatisation
Les chefs de projet gèrent souvent des équipes, des budgets et des délais.
Chose qui peut produire une pression accablante et des incertitudes sur leurs habilités à accomplir leurs tâches et fonctions.
D’un autre côté, les projets sont communément évalués selon les résultats obtenus.
Des échecs ou des retards peuvent être perçus comme des échecs personnels.
Cela peut affecter négativement le niveau de confiance en soi des gestionnaires.
De ce fait, des attitudes de surévaluation d’un problème rencontré ou de dramatisation devant un résultat négatif peuvent conduire à des niveaux très bas de confiance en soi.
Origines d’une insuffisance de confiance en soi
Plusieurs causes peuvent entraîner une défaillance de confiance en soi.
Ci-après, nous vous listons les plus essentielles :
1) La source éducative
Quand l’enfant subit régulièrement des critiques ou se retrouve constamment en manque de soutien ou encore en privation d’amour parental, son niveau de confiance en soi peut bien s’amenuiser.
De la même manière, quand les attentes, en termes de performances scolaires ou comportements sociaux, sont irréalistes, il faut prévoir à juste titre une baisse significative de conviction en ses propres valeurs.
Par ailleurs, être souvent comparé à autrui peut bien générer un sentiment d’infériorité chez l’enfant.
2) Des événements bouleversants
Il est prouvé scientifiquement que les expériences traumatisantes vécues par les individus peuvent éroder profondément les niveaux d’affirmation de soi et de confiance en ses capacités personnelles.
De cette manière, des événements choquants peuvent miner tenacement l'estime de soi.
Tels que :
- Des échecs récurrents
- Des bannissements sociaux
- Des harcèlements fréquents
- Des épreuves d’abus émotionnels, physiques ou verbaux
Il s'ensuit systématiquement une baisse significative de la foi en son pouvoir.
3) Les impacts socioculturels
Dans nos sociétés contemporaines, les normes et attentes sociales, en termes de succès personnel, sont fortement élevées et irréalistes.
On en cite les règles informelles suivantes qui sont véhiculées au sein des communautés :
Être la vedette, le champion, le plus beau, le plus nanti, de son groupe de projet, de sa société…
Cela signifie le fait d’ancrer dans les esprits une sorte de philosophie des stéréotypes de genre ou des idéaux de beauté, de succès ou de compétition…
D’un autre côté, évoluer dans une société où l'on est victime de discrimination, de rejet ou d'exclusion peut considérablement affecter la confiance en soi.
Du reste, les médias ne cessent pas de promouvoir des standards de performance, de réussite et de beauté difficilement accessibles, créant un fossé entre la réalité et les attentes personnelles.
Par ailleurs, les sociétés modernes condamnent fermement l’échec, alors que la psychosociologie le considère plutôt comme un vrai levier d’apprentissage et de développement.
4) Les influences psychologiques
Adopter un système de pensées inhibitrices, à propos de soi ou de ses capacités, freine l’accès aux opportunités et induit l’inaction.
Il en découle une flagrante remise en cause de son vrai potentiel.
De la même façon, avoir constamment, en gestion de projet, la fâcheuse tendance au perfectionnisme peut conduire à une autocritique brutale et à un sentiment d'échec constant, même en cas de réussite.
5) Les troubles de l'humeur
Il va sans rappeler que se retrouver en état de stress négatif ou être exposé à des troubles d’anxiété, de phobie sociale ou de dépression, va altérer clairement l’affirmation de soi.
6) L’absence de compétences et d'expérience
Peu ou pas de recul ou de compétences dans un secteur particulier ou en gestion de projet peut occasionner des incertitudes quant à ses capacités générales.
7) L’entourage toxique
Avoir autour de soi des bonhommes négatifs ou critiques peut bien saper la confiance en soi.
Maintenant, voyons quelles sont les bonnes pratiques à adopter pour reprendre votre confiance à bras-le-corps.
Les stratégies gagnantes
De nombreuses démarches sont suggérées par les experts pour se défaire des retombées négatives d’un manque de confiance en soi.
En fait, prendre et gagner en confiance en soi constitue un processus qui peut parfois être long.
Mais toujours est-il qu’avec des stratégies adaptées et efficaces, vous pouvez, à coup sûr, afficher des progrès marquants.
Voici quelques bonnes pratiques pour y arriver :
1) Pratiquer la bienveillance envers soi
- Soyez tolérant, compréhensif et gentil avec vous-même
- Débarrassez-vous de la dépréciation de soi
- Donnez-vous le droit à l’erreur
- Osez aller de l’avant et acceptez l’échec
L’erreur tout comme l’échec ne sont en fait qu’une espèce d’opportunité qui vous incite à apprendre davantage, à évoluer encore plus et à s’accomplir pour longtemps.
En réalité, et à fortiori en gestion de projet, l’erreur et le risque font partie du travail.
L’erreur autant que le risque doivent être perçus comme un véritable appel à reconsidérer votre manière de décider et d’agir.
Cherchez plutôt à comprendre les sources du déficit de confiance en soi.
Cela représente une première étape importante pour commencer à travailler sur vous et à développer un meilleur respect de soi.
2) Établir son SWOT personnel
Socrate disait : « Connais-toi toi-même ».
Étudier son SWOT personnel permet au chef de projet de bien cerner ses forces et limites.
Ainsi, il saura quand et comment mobiliser ses forces et s'attellera en parallèle à redresser ses points faibles.
De la même manière, le SWOT permet de mettre le doigt sur ses croyances stimulantes et celles dites inhibitrices.
Chose qui habilite le chef de projet à un bon nettoyage mental et émotionnel.
3) Asseoir des objectifs réalistes
Rappelez-vous la citation célèbre de Sénèque (penseur et stratège romain) : « Il n’y a pas de bon vent pour celui qui ne sait où il va ».
- Fixez-vous des objectifs SMART qui doivent être aussi ambitieux qu’atteignables, tout en restant temps dépendants, en prenant compte de :
- La spécificité de votre bilan personnel
- La particularité de votre bilan de compétences
- La nature du projet à entreprendre
- L'environnement de votre travail
- Visualiser, ressentir le bonheur et les effets de l’accomplissement de l’objectif.
- Décomposer ces objectifs en petites étapes réalisables pour éviter de vous sentir submergé.
- Établir, pour chacune des étapes, un plan d’action adapté à vos ressources et aux exigences de l'environnement.
- Célébrez les petites victoires : au fur et à mesure que le projet avance, fêtez les petits progrès enregistrés.
4) Sortir progressivement de sa zone de confort
Quitter cette zone de confort est mentalement difficile, mais non impossible.
Vous pouvez y parvenir en procédant de manière intelligente.
Vous commencez, à titre d’exemple, par vous défaire petit à petit de vos croyances limitantes.
Dans un premier temps, vous les listez en partant de la plus facile à esquiver à la plus difficile à corriger.
Ensuite et selon un plan souple, mais précis, vous vous y attaquez lentement et sûrement jusqu’au terme.
Ainsi en opérant des changements d’attitudes de manière régulière, vous allez vous habituer à de nouvelles tâches qui deviendront alors votre nouvelle zone de confort.
Chaque fois que vous vous retirez de votre zone de confort, ce sera un pas de plus vers un vrai regain de confiance en vous.
En parallèle à cela, tâchez d’explorer de nouvelles expériences et tentez de nouvelles activités ou hobbies afin de découvrir de nouvelles compétences et intérêts.
5) Entretenir une attitude positive
Afin de garder une attitude positive :
Pratiquez l’autosuggestion :
Se répéter quotidiennement des phrases affirmatives et des suggestions positives change positivement la perception qu’on se fait de soi et fait gagner amplement en confiance en ses compétences et capacités.
Se dire et réitérer des phrases magiques quotidiennement cultive un état d’esprit positif chez le chef de projet et le pousse à briser la glace.
Voici quelques-unes de ces fabuleuses phrases :
" J’ai pleinement confiance en moi ".
« Je crois en mes capacités ».
" Oui. Je peux le faire. C’est dans mes cordes ".
Adonnez-vous à la gratitude :
Notez chaque jour trois choses pour lesquelles vous êtes infiniment reconnaissant.
Entourez-vous de personnes positives :
Ne fréquentez rien que les braves gens positifs qui se serrent les coudes, qui s’inspirent mutuellement et qui cultivent la passion et l’enthousiasme.
6) Apprivoiser ses peurs
- Identifiez vos peurs : Notez ce qui vous interdit d’avancer, comprendre l’origine de votre angoisse et confrontez ces peurs de manière rationnelle
- Utilisez la visualisation créatrice : Imaginez-vous en train de réussir pour vous préparer mentalement aux défis
- Avoir la sensation de frayeur devant un projet, que vous avez à amorcer, est entièrement naturel en début d’ouvrage
Cependant, en faire une montagne infranchissable, relève de la pure spéculation mentale au regard des nombreux progrès accomplis par des hommes ordinaires comme vous et moi.
7) Éviter de se comparer aux autres personnes
Il est admis aujourd’hui que chaque être humain est unique en son genre.
Chacun possède sa propre histoire de vie qui est tout à fait différente de celle d’autrui.
Ainsi donc, tout élan de comparaison interpersonnelle paraît irraisonnable.
Par contre, vous pouvez comparer votre réalisation actuelle par rapport à vos prévisions déjà préétablies.
8) Développer des compétences et connaissances
Prenez la bonne habitude d’apprendre assidûment :
Suivre des cours en auto formation, ou assister à des formations vous permet d’acquérir de nouvelles compétences et de renforcer celles que vous avez déjà.
Adonnez-vous à la lecture :
Dévorez, ne serait-ce qu’une demi-heure par jour, des livres, des articles et regardez des vidéos éducatives.
9) Améliorer son hygiène de vie
- Faites de l'exercice : l’activité physique optimise aussi bien la santé physique que la santé mentale.
- Mangez équilibré : une alimentation saine peut impacter positivement votre bien-être général.
- Boire assez d’eau : ce qui rafraîchit, hydrate et nettoie votre corps.
- Dormez suffisamment : un bon sommeil vous revitalise et vous fait regagner de l’énergie.
- Pratiquez la respiration abdominale : ça relaxe et améliore la gestion du stress et de l’anxiété.
- Déconnectez-vous : éteindre vos portables et ordinateurs le soir, le weekend et pendant le travail sur votre projet, améliore votre attention et vous procure calme et sérénité.
- Recourir à l’humour : un brin d’humour vous anime et vous fait goûter à la joie de vivre.
- Souriez : le sourire détend, illumine votre visage et fait répandre du plaisir pour vous et autour de vous.
10) Chercher du soutien
- Parlez-en à votre coach professionnel : peut vous aider à surmonter des blocages personnels.
- Consulter un thérapeute : peut vous être d’un grand secours pour vous faire retrouver de la confiance en vous.
- Rejoignez des groupes de soutien : Partager vos expériences avec autrui peut vous être très bénéfique.
En conclusion
La confiance en soi vous habilite à disposer d’une vision réaliste de vos aptitudes et compétences.
Avoir foi en votre pouvoir vous autorise à piloter de la meilleure manière vos émotions, à atteindre vos objectifs et à vivre dans la joie et l’allégresse.
Avoir confiance en soi est bénéfique pour votre santé, vos projets, votre succès et votre accomplissement personnel.
Comprendre et reconnaître vos atouts et potentialités vous permet d’asseoir des objectifs de travail réalistes et des stratégies d’action adaptées. Chose qui vous fait gagner en assurance, en estime de soi et en confiance en votre personne.
En appliquant les bonnes pratiques, de manière cohérente, vous pouvez progressivement prendre, reprendre et renforcer votre confiance en vous et ainsi vivre une vie plus épanouissante.
N'oubliez pas que la confiance en soi est un voyage continu et qu'il est normal d'avoir des hauts et des bas en cours de route.
Maintenant, je serai très heureux de recueillir et lire vos commentaires.
